Les événements récents ont montré à tous l’importance du maintien d’une industrie chimique en France pour préserver notre autonomie de production de biens de consommation courante mais aussi de médicaments indispensables à notre santé. Pour autant, nous savons que cette pérennité ne se fera qu’en allant plus loin dans le dialogue, la transparence et la réduction des risques environnementaux.
Qualité de l'air
chiffrée pour
construire nos
indicateurs
Pour pouvoir évaluer les progrès accomplis, nous avons mis en place des indicateurs autour de nos 3 enjeux.
Pour nous guider dans la construction de ces indicateurs, nous nous sommes appuyés sur les principes de la charte mondiale RESPONSIBLE CARE, l’expertise de nos collaborateurs et de spécialistes indépendants (ATMO, OSMANTHE, APESA)
SUR LES SUJETS QUI LES CONCERNENT.
Les parties-prenantes d’UNIVERSLACQ représentent celles et ceux (individus comme groupes) dont les intérêts peuvent être impactés par nos productions, nos décisions.
Nous entretenons un dialogue régulier avec elles. Depuis 2015, nous nous sommes particulièrement mobilisés pour mettre en place des solutions face aux gênes olfactives liées à nos activités.
Pour initier notre démarche RSE, nous avons convié nos riverains, les élus, les associations de protection de l'environnement à des débats publics afin de favoriser le dialogue, d'être à l'écoute de leurs attentes en matière de qualité de l'air et plus largement de durabilité.
Ces échanges ont permis de mettre en place des mesures d'informations sur la qualité de l'air sous la forme de bulletins hebdomadaires. Depuis, des riverains sont également formés au langage des Nez : cela leur permet de contribuer aux suivis des “odeurs et nuisances”.
Nous allons continuer à multiplier les occasions de dialogue, favoriser l'émergence de nouveaux enjeux prioritaires pour notre territoire et ainsi construire une approche collective, transparente et novatrice.
